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9 juin 2011 4 09 /06 /juin /2011 12:55



 

 

Vous avez sans doute vue cette publicité pour la sécurité routière.



Aujourd'hui je vous fait par de mon coup de gueule. Cette nuit j'ai repensé à cette pub et ses incohérences, je m'explique.



Que voyons nous?

Mr & Mme tout le monde qui pleurent au téléphone suite à un proche mort dans un accident de voiture (Déjà tu vois la pub tu déprimes, suffit que tu manges pour avoir l'appétit coupé).

A la fin de la pub il est écrit  "Nous pouvons tous arrêter ça. Alors faisons-le.".



Mais bien sûr..

Nous allons tous acheter des Poneys comme ça plus d'accident.. Sérieusement, qu'elle est le but de cette pub?

A part nous faire déprimer et ainsi pousser les français à encore plus consommer d'antidépresseurs et de cigarettes.. Je veux bien que l'ont fasse de la sécurité routière, c'est un but noble de vouloir sauver des vies, mais ce n'est pas avec des images de personnes qui pleure & un slogan à la con que ça marchera.



Alors oui, il y aura des personnes sensibilisé :



- Ceux qui ont perdus un proche dans un accident de la route.

- Ceux qui ont échappés de peu à la mort lors d'un accident.

- Ceux qui regardent TF1. (Quoique je n'en suis pas sûr).



Maintenant les personne qui ne serons pas sensibilisé :



- Ceux qui on perdus un proche dans un accident de la route et qui n'en ont plus rien à foutre de la vie

- Ceux qui ont échappés à mainte reprises à la mort et qui du coup ce croient immunisé (Oui oui, il y en as).

- Ceux qui roulent comme des tarés.

- Ceux qui ont un Poney (Ou un vélo).



Donc pour résumer, cette pub nous montre à qu'elle point notre vie est ridiculement fragile

(12 personnes tuer/jours sur la route) pour nous faire déprimer et pousser à la consommation par la peur, (Un 4x4 c'est plus solide qu'une Twingo)..



Et en plus elle a le culot de nous dire "d'arrêter de nous tuer sur la route".



Une voiture brider à 130km/h ça ne serait pas plus efficace? De nouveau réseau de train, des trains à l'heure, des billets à des prix abordable? Plus de transport en commun? Et pourquoi même un réseau de Poneys?



(J'ai une fixation sur les Poneys aujourd'hui, veuillez m'en excuser).



Bref, j'ai dit ce que je pensais de cette pub. Alors pensez à nos chats, roulez tout doux!





BBC 09/06/11

 




 

_______________________________

Sources :
Texte :  Moi
Vidéo : Youtube

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13 décembre 2008 6 13 /12 /décembre /2008 19:03
11 Decemblre 2008.

Violence

Voles tu plus haut que les autres ?

Illico tu deviens agressif tu es apôtre,

Obligé d'utiliser la violence comme arme,

L'insulte comme bouclier, tout ça fait ton charme.

Enfaite t'es juste inintelligent et faibl!

N'oublies jamais qu'ont te guette comme des aigles,

Car un jour tu iras trop loin,

Et nous serons là pour te chasser p'tit malin!


Charlie. 11/12/08
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13 décembre 2008 6 13 /12 /décembre /2008 19:01
"Oh Zarma au plus haut des cieux".

Voila, c'tout ce que j'avais à dire.

                                                                                                                                                     BBC.

_______________

Source : Texte : Moi
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9 décembre 2008 2 09 /12 /décembre /2008 11:29
 

Hier la lune brillait de tout son éclat,

Hier l'air était doux, même très calme,

Hier le vent d'Eole était fin t-elle une lame,

Hier, l'ensemble des parcs avaient le parfum du lilas.


Aujourd'hui la lune est noir et ne scintille plus,

Aujourd'hui l'air est glacial et brûle les poumons,

Aujourd'hui le vent souffle sur ce qui semble être du carton,

Aujourd'hui les parcs sont blanc, ont ne vois plus les chemins tordu.


Demain ont à prévu un climat d'air glaciaire,

Demain nous serons peut être mort mais,

Demain j'aurais su une chose, hier aura été un autre jour et,

Demain j'aurais profité de cette vie de mammifère.



BBC 01/12/08

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5 décembre 2008 5 05 /12 /décembre /2008 21:42

2 décembre 2008 :


L'histoire du tout couramment appelé infinie,

N'est qu'une notion inconnue, voici sa synopsie.

Il est né en même temps que les Dieux,

Pour définir ce qu'ils ne comprennent pas. Eux


Ce sont ces personnages scientifiques qui l'ont créée,

A croire qu'ils n'avaient pas les bonnes clefs,

Ou peut être juste une imagination bloquée.

D'autre se sont posé des questions trop compliquées.


Seraiss-ce la poule qui a fait l'oeuf ?

Ou l'oeuf qui a fait la poule ? Boeuf

Est volé après l'oeuf mais ne déraillons pas,

Etrangement le tout ressemble au rien et vice vers ça.


Mais des gens ne croient à rien,

Aloes, que deviens le tout ? Rien ?

Pourtant il restera jusqu'à ce qu'il n'y ai plus rien.

Alors évitez d'utiliser des notions qui ne servent à rien.

BBC 02/12/08

 

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22 août 2008 5 22 /08 /août /2008 09:03

Une histoire d’arbre

 

Le mardi trois septembre, comme tous les mardi, Mme De Calibtus se leva. Elle descendait l’escalier doucement, et se dirigea dans la cuisine. En passant dans le couloir, le coucou sonna les huit heures. Elle ouvrit le frigo, se servit un verre de jus d’orange, et alluma la radio.

Elle alla ouvrir les volets. La neige tombait, Mme De Calibtus pensa que c’était un peut trop tôt pour un fin septembre. Mais elle n’eut pas trop le temps de réfléchir, car elle vit dans la neige une chose noire.

Intriguée, elle s’habilla, et sortit. Dehors, le froid l’envahit et la fit frissonner. Elle s’avança dans la poudreuse et arriva dans un parc.

Elle vit là, allongé dans la neige son fils, Nicolas !

Elle le regarda,  le regard bloqué sur sont visage bleu. Il portait un costume noir. Il avait les yeux bleus, grand ouvert, ceux-ci ressortaient avec la neige. Il n’y avait pas de sang, pas de blessure visible, ni de poignard, ni de trace de lutte, rien. Il avait sûrement était étranglé ou empoisonné. Des traits sur son visage laissé penser qu’il avait eu peur avant que son âme ne le quitte. Mme De Calibtus comprit alors qu’il était mort ! 

Elle ne prit même pas son pou. Elle était tellement triste qu’elle avait du mal à respirer. Elle resta dix minutes à contempler son fils, les cheveux gelé par le froid de la nuit, la bouche à moitié ouverte, comme si il voulait parler.

Parler, voila une chose Mme De Calibtus voulait que son fils fasse ! Elle aurait tout donné pour entendre son fils parler et respirer ! Puis elle courut vers son mari toujours en pleurant, et ils appelèrent la police.

 

 

Quelque dizaine de minutes plus tard, une voiture arriva. Mlle Acacia Estelle, une jeune enquêtrice de vingt cinq ans.

Elle regarda la bâche sur le cadavre de loin… S’approcha, enleva la bâche le contempla  et comprit qu’il avait été étranglé.

Estelle alla vers Mme De Calibtus et déclara l’air gêné :

 

 

-         Avait t-il des problèmes ?

        -          Mme De Calibtus essuya ses larmes, et reprit, Nicolas était un étudiant brillant, il avait vingt trois ans, il                 était discret, il n’avais jamais d’historie, c’était un intellectuelle. Tout le monde l’aimait bien, c’était une crème…

Puis impossible de continuer, elle fondit en larmes.

Estelle reprit :

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Mlle Acacia Estelle, était une jeune et charmante enquêtrice, aux cheveux mi long, bouclés de couleur noisette, aux yeux verts profond. Une amoureuse de la poésie, de la nature, du yoga… Elle aimait jouer de la guitare, aussi les animaux, et d’ailleurs elle était bénévole à la SPA. Estelle est une personne agréable, à la voix douce. Elle mesure un mètre soixante sept, ne met pas de maquillage mais elle sait prendre soin d’elle. Elle peint des tableaux de nature morte à ses heures perdue, elle n’aime pas les douches car elle est claustrophobe. Tous les week end, elle joue au tennis. Elle fume pour oublier le stress, lit le soir de gros livre plus ou moins intéressant et joue très bien au échec.

Elle fût réveiller un matin de grasse matinée, pour une historie de meurtre.

 

Après s’être rapidement levé, elle prit sa Mini et se rendit au 15 rue de l’Erable. Il neigeait à pleins temps, et la lourde poudreuse tombait sur le pare-brise. Une fois arrivée devant le manoir des De Calibtus, elle eut un soupir de soulagement et de découragement. Elle n’aimait pas conduire par mauvais temps. Elle repensa rapidement à son lit chaud, en se demandant si elle ne pouvait pas faire demi-tour…

Alors elle alluma un gallo pour se motiver, et sortit de la voiture. Elle sonna au portail, et entra dans la cour. A environs cinquante mètres, elle vit la police, elle alla vers eux. Elle fit un bref signe de politesse car elle n’aimais pas la PCC (La Police des Crime Canadienne). Elle alla directement vers le cadavre de Nicolas De Calibtus Elle fût surprise de ne pas voir de sang. Nicolas était bleu. Elle scruta la victime, et vit une marque rouge sur son cou. En ne voyant pas de sang, ni de plais, et en voyant son visage bleu, elle comprit vite qu’il avait été  étranglé.

Dans les yeux du cadavre encore ouvert, on pouvait lire de la peur. Estelle demanda à un policier s’il y avait des traces de pas avant leur arrivée, celui-ci répondit qu’il y avait les trace de Mme De Calibtus. Estelle tira une latte de sa cigarette et pensa que cette affaire était loin d’être terminée. Puis elle se dirigea vers Mme De Calibtus pour lui poser quelque question.

 

Après, Estelle rentra dans le manoir, et convoqua Alex De Calibtus dans le petit salon.

Celui-ci arriva en traînant les pieds. Estelle demanda ou il était la veille au soir dans la nuit, il lui répondit d’un air irritant que comme tout le monde il dormait  puis, Estelle demanda s’il s’entendait bien avec son frère, Alex fit la moue, et expliqua qu’il ne s’entendait pas du tout depuis tout petit, que Nicolas était le petit chouchou, le petit protégé. Estelle fit un petit geste de la tête pour l’inviter à continuer, celui-ci reprit en déclarant qu’il avaient toujours les goûts opposer à lui et qu’avec le temps, ça ne c’était pas arrangé. Estelle demanda enfin, si Nicolas avait des ennemis, ou si il ne s’entendait pas avec quelqu’un, Alex lui répondit qu’il ne s’entendait pas avec Mr Scapin, Estelle le remercia et lui demanda de sortir.

Estelle convoqua ensuite Mr Scapin. Il arriva le dos bien droit, la tête haute.

Estelle demanda :

 

 

 

 

 

 

 

Puis Mr Scapin repartit.

 

 

Estelle se laissa tomber lourdement sur le canapé, puis elle  se remémora dans sa mémoire les propos de Mme De Calibtus, comme quoi qu’Alex était bagarreur, qu’il était insociable, et jaloux. Puis se que Mr Scapin avait dit, le Ying et le Yang, l’histoire du diplôme d’IUT, et enfin Alex, qui n’a fait que approuver se que les autres pense de lui…

 Estelle s’apprêta à allumer une cigarette, lorsqu’un policier arriva en lui tendant un dossier. Estelle rangea la cigarette, et ouvrit le dossier. Celui-ci confirmait que Nicolas avait été étranglé. Elle regarda les photos du cadavre, puis… Elle s’attarda sur un zoom du coup de Nicolas. Il y avais une étrange tâche rouge, Estelle prit une loupe, et regarda la photo. La tâche était un motif imprimé à même la peau, c’était un cactus.

Estelle resta septique mais plus elle regarda se motif, plus elle pensait qu’Alex était le coupable… Et là, un flash-back lui arriva, elle se souvient d’avoir vus une bague avec un motif étrange lors de l’interrogatoire d’Alex ! 

Estelle demanda à nouveau qu’Alex vienne.

Il arriva toujours en traînant les pieds mais cette fois-ci il déclara d’un ton agressif :

 

 

-         Pourquoi ?

-         Ne discutez pas !

Il hésita un moment, puis consentit à montrer ses mains. Estelle prit la bague de sa main droite,  elle regarda la photo, le motif de la bague… Elle correspondait. Elle regarda ou était la tâche sur le coup, elle était à gauche, mais la bague était la main droite, se qui fait qu’Alex a étranglé son frère en traître par derrière, d’où la peur de Nicolas. 

Estelle sortis du petit salon, passa un rapide coup de fil, revient vers Alex, et alla vers la fenêtre.

 

 

Dix minutes plus tard, deux voitures de police arrivèrent au manoir. Sept policiers en sortirent. La neige tombait sur leurs uniformes parfaitement repassés. Les policiers se pressèrent de rentrer dans la demeure. Estelle quitta son regard de la fenêtre, se dirigea vers Alex et lui déclara :

 

Elle ne put terminer sa phrase, qu’Alex la bouscula et sortit de la pièce en courant. Il  voulut descendre les escaliers, mais des policiers montaient, alors il se précipita dans la salle de bain, Estelle était sur le point de le rattraper, mais Alex s’enferma.  Estelle ordonna aux policiers de défoncer la porte, et de descendre dans le parc, pour se mettre devant la fenêtre.

Deux minutes plus tard, les policiers défoncèrent la porte… La salle était spacieuse. Une grande baignoire, une cabine de douche, et de la faïence blanche, qui rappelait les maisons du midi. Estelle regarda dans la salle, le Smith et Wilson à la main. Mais il n’y avait personne ! La fenêtre était fermée. Mais elle repéra vite un meuble capable de contenir un humain d’un mètre quatre vingt. Elle s’approcha et d’un coup sec elle tira la porte !

Alex émit un cri de surprise et de peur. Deux policiers le prirent et le bloqua contre le mur. Estelle prit ses menottes et put terminer sa phrase :

 

Et sur se dernier mot, les policiers l’emmena dans la voiture.

 

The End

Charlie.

 

 


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20 août 2008 3 20 /08 /août /2008 12:41

La malédiction de la chandeleur

 

A Bub's, Cass, Rudy, et Greg

 

Chapitre 1 : On fait des crêpes ?

  Dans une maison, dans un petit village, Rudy était couché dans sont lit, quant tout à coup... La sonnette retentit. Rudy  se r'habilla vite, et alla ouvrir. Greg et Cass étaient arrivés. Rudy les salua, et les invita à entrer. Les amis parlèrent de sujet très diversifier. Après quelque dizaines de minutes, Bub's arriva, et déclara :

-         Euh, désolé, je suis un peu en retard...
-         Ouais, seulement de trente six minutes, reprit Cass agacé.
     

Le petit groupe sortirent de la maison, et allèrent en ville.
Après avoir fait quelque kilomètres, Bub's déclara :

-         J'ai faim ! Je vais me chercher deux Mac Fleury !-
-         Mais t'es un ventre sur pattes toi, tu viens de bouffer y'a deux heures reprit Greg.
-         Je sais, mais j'ai faim répliqua Bub's.


Après avoir manger, la troupe alla dans un supermarché. En passant devant le rayon gâteau, Bub's lâcha un « Hummmm ».

Rudy le coupa :

-         N'y pense même pas !
-         Et les mecs, on fait des crêpes demanda Greg.
-         Ouais, y'a moyen de moyenner pour ce soir reprit Cass.

Les amis allèrent chercher de la pâte toute prête, de la pâte à tartiner, et de la confiture, puis ils sortirent du magasin.

 

Chapitre 2 : Une rencontre bizarre.


 Les amis était sur le chemin du retour, ils marchaient lentement à cause de Bub's qui ce pleignait d'avoir mal au ventre.

Ils passèrent dans un cartier sombre. Là un home habiller d'un long vêtement noir avec une capuche de la même couleur déclara :
-         Ne manger pas de crêpes ! Sinooooon vous serez maudit ! Oui maudit !

Et il ria d'un rire à vous foutre la chaire de poule !
-         Euh, oui, moi aussi.. Répondit Cass

L'homme étonné Cria :
-         Estus, Malius, Tustus !

Puis il disparut dans la rue !
Bub's déclara :

-         Euh, il est pas tout net se mec hein ?

Les autres ne répondirent pas, et ils continuèrent de marcher.
Une fois de retour chez Rudy, Greg demanda :

-         Tes vieux sont la ?
-         Bah non, ils sont partis en vacance en Italie répondit Rudy.

Après cela, ils préparèrent à manger. Greg faisait chauffer des crêpes, et Cass préparait de la salade. Les deux autres regardaient faire.

Une fois terminer, Cass beugla :

-         A table ! C'est prêt c'est chaud !


Et ils ce mirent tous à manger. Une fois terminer, ils regardèrent le film des « Frackass Du Tan ». Puis  au lit.
Greg et Rudy dormaient dans une chambre et Cass et Bub's dans une autre.
Pendant la nuit, Bub's ce réveilla. Il alla dans l'autre chambre et déclara :

-         J'ai envie de chier les gars !

Puis il alla au toilette. Une fois terminé, il retourna dans leur chambre et ce mit à chanter la chanson de « Bob l'éponge ».
-         Ohhhhhh... Qui vit au font de la mer dans un ananas ? Bob l'éponge carré...

Cass cria énervé :
-         Ta gueule Bub's !

Résigné, Bub's retourna ce coucher.

 

Chapitre 3 : Une soirée entre pote.

 

Le lendemain soir, les quatre amis décidèrent de faire une petite soirée. Rudy invita Estelle et Zofia.
Ils préparèrent encore des crêpes, mais avec plus de choix de garnitures.
Ils préparèrent beaucoup de crêpes.

Quant la dernière de ses dernières fût cuite, la sonnette retentit, et les filles arrivèrent.
Ils ce mirent à table.
Pendant le repas, Bub's s'énerva et cria :

  -         Putin, fait chier bordel de merde !


Toute la table ce tu, comme ci le temps fu arrêté, et tous les regards se tournèrent vers Bub's, qui confus s'excusa et alla dans le jardin, vers les nains de jardin.

Le repas continua. Bub's revint un car d'heure plus tard en sueur, mal r'habiller.

Ma soirée continua tard dans la nuit, la fête était arrosée avec beaucoup d'alcool !
Puis vers deux heures du matin, ils s'endormirent. Deux dabs un lit, deux aurez dans la baignoire et les autres un peu partout...

 

Chapitre 4 : Les crêpes ce réveille !

 

A quatre heures du matin, un bruit réveilla les amis fêtard.

Bub's demanda :

-         Euh... C'était quoi ça ?
-         Pas grand-chose répondit Estelle du tac au tac.

Puis ils se rendormirent.  Dix minutes plus tard, le même bruit retentit ! Cette fois ci, Cass déclara :

-         Bon aller, on va voir ce qui ce passe !

 Il descendit donc l'escalier en caleçons, accompagné de Zofia en nuisette.
Les autres suivaient derrières.

Une fois dans la cuisine, Bub's déclara :

-         Euh, on a mangé toutes les crêpes hier soir ?
-         Non, répondit Rudy
-         Alors pourquoi n'y a-t-il plus...


Bub's ne pu terminer ça phrase qu'un bruit sourd résonna dans la maison ! Les six amis ce retournèrent lentement, comme au ralentit, et là... Trois crêpes se tenaient devant eux en lévitation !

Elles avaient trois trous, deux pour les yeux, et un autre pour la bouche ! Les amis ce regardèrent et coururent dans tous les sens !
Les crêpes courraient après les amis affolés.

Il y avait deux morceaux de crêpes en forme de bras autour de leur tête. Et dans leurs bras se tenaient un couteau et une fourchette !
Bub's ce cacha dans un placard, Estelle sous le lit, et les autres un peu partout, de la cave au grenier !

Commença alors, une partie de cache cache !

 

Chapitre 5 : Les crêpes attaquent !

 

Après une heure de cache cache, les six amis ce retrouvèrent, et ils s'enfermèrent dans les toilettes ! Rudy déclara :
-         Bon, faut qu'on tue ses sales bestioles !

Et ils mirent au point un plan de contre offensive !

Ils sortirent des toilettes deux minutes plus tard. Rudy et Cass ce dirigèrent dans la cuisine pour prendre des couteaux, pendant que Greg, Estelle et Zofia attiraient l'attention des crêpes. Et Bub's lui restait cacher dans les toilettes..

Une fois armé, les deux courageux allèrent vers les crêpes et commença alors un long combat ! Crêpes vs mangeur de crêpes !
Les crêpes donnaient des coups de fourchette, des coups de couteau, et fonçaient sur les humains, alors qu'eux tranchaient tout sur leur passage !
Pendant ce temps, Bub's buvait comme un trou !
Après un combat de trente quatre minutes, les crêpes étaient coupés en morceau.

Les deux guerrier poussèrent un crie de victoire !

Mais là, les crêpes ce reformèrent !
Un regard exaspérer traversaient les yeux des cinq amis... Les crêpes les encerclèrent.
Elles se rapprochèrent, mais là...  Bub's arriva en marchant de travers, et déclara en tordant la bouche :
-         J'ai faim !

Puis il s'avança près d'une crêpe, la pris avec ses deux mains, et croqua dedans !

Les deux autres crêpes effrayées s'enfuirent dans la maison ! Bub's les coursa et trébuchant tous les dix mètres. Et après deux bonnes heures, les crêpes étaient dans sont ventre !

 

Chapitre 6 : Encore une fête ?

 

 

Le soir, les amis reparlèrent de cette drôle d'histoire tout en mangeant une pizza. Après le repas, ils allèrent ce reposer de cette longue journée. Cass avec Zofia, les autres dormais partout...

Ils s'endormirent vite...

Mais dans les ténèbres de la nuit, un bruit retentit...

 

 

 

BBC . 08/10/07


 

Source image : Google.

 

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19 août 2008 2 19 /08 /août /2008 14:08
Une vérité recherchée

A mon Buz et à mon Boulet

 
Chapitre 1 : Des enlèvements !
 

Dans le quotidien, un article à été parut le vendredi 23 juillet :

« Comme chaque année, ils ont encore disparurent ! En effet, les nains de Belcombe ont encore disparurent ! On ne sait toujours pas qui sont les kidnappeurs, ils y a beaucoup de suppositions : Un serial killer de nain, un fanatique des nains, ou encore plus fous, les nains qui partent tout seul ! Mais je pense que cette affaire n’est pas près d’être terminée !

Frize »
 
Alexandre déclara :

-Fait chier ses connards ! Toujours à voler les nains de notre blède !

-J’suis d’accord avec toi repris Jeoffrey.

Charles pleurnicha :

-Mes nains.. Snif, avec qui je vais m’amuser le soir ?! Snif…

-Euh… essaya de répondre Alexandre.

Charles se moucha puis se recoquilla sur lui-même.

-Bon, faut qu’on retrouve ses enfoirées repri Alexandre.

-Pour commencer, je propose d’aller voir à la veille ferme proposa Jeoffrey.

Donc les jeunes enquêteurs allèrent dans la ferme. Après quelque pâté de maison, ils arrivèrent derrière un champ, à l’ouest de la forêt.

La se tenait une vielle bâtisse, à moitié en ruine.
Alexandre déclara :

-Nous y voilà.

 
Chapitre 2 : Une enquête.
 
Alexandre entra le premier par une vielle porte.

Les autres lui emboîtèrent le pas. Une fois dedans, les amis montèrent l’escalier. Les marches craquèrent.

A la huitième marche, l’escalier craqua une fois de trop, et Alexandre tomba de cinq mètres ! Charles, et Jeoffrey tombèrent seulement d’un mètre.

Charles demanda :

-Euh… Tu vas bien Alex ?

Alexandre se releva en tirant une grimace et déclara :

-Ouais ouais, on a vue pire…

-Bon on continue reprit Jeoffrey.

Après deux heures de recherche intense ils ne trouvèrent rien !

Alexandre déclara :

-Bien jouer pour ton idée géniale Jeoffrey !

-Putin, fait chier bordel de merde !

Tour le monde le regarda d’un air interrogatif, puis confus il s’excusa et partis dans la forêt.

Alexandre déclara :

-Bon on va ou ?

-Dans le moulin ? Demanda Jeoffrey.

-Ok

 
Ils allèrent au moulin, cherchèrent et ne trouvèrent rien.

Vingt minutes plus tard, Charles arriva en sueur, mal r’habiller et déclara :

-Et les mecs, les mecs, j’ai trouvé une cachette secrète !

-Ah repris Alexandre, ou sa ?

-Dans la forêt. C’est une sorte de camouflage devant une porte métallique, j’suis pas rentrer dedans, mais y’a moyen qu’on y rentre après répondit Charles.

-Hum… Intéressant, repris Alexandre. Bon bah on pourra y aller dans quelques heures, j’vais prendre des lampes….
       

Une heure plus tard, les trois amis étaient dans la forêt devant la porte.

Alexandre prit la lampe torche, enleva le feuillage de la porte, et là… Une chaîne avec un cadenas !

Charles déclara :

-Putin de merde !

-Ouais comme tu dit… Bon on retourne chercher une pince et on revient après.

 
Chapitre 3 : Une piste.
 

Deux plus tard, ils étaient de nouveau devant la porte, mais cette fois-ci avec une pince.

Jeoffrey prit la pince et coupa le cadenas avec un peu de mal. Puis ils prirent leurs lampes et ouvrirent la porte dans un grincement strident.

Il faisait noir dedans.

Charles descendit les marches métalliques. Il y avait un long tunnel tout en métal. Il était humide et d’un gris terne. Au font trônait une seul porte.

Les amis s’avancèrent près de la porte. Il t avais deux signe bizarre graver dedans.

Alexandre ouvrit la porte et derrière, encore un long couloire, avec une boîte sur le côté.

Alexandre se dirigea ver la boîte et l’ouvrit. Il vit un interrupteur, sans hésiter il l’enclencha, et là.. Tout le couloir s’illumina d’une couleur verte et des inscriptions apparurent sur les murs. C’était une langue inconnue, avec quelques signes qui ressemblaient étrangement à des hiéroglyphes. Charles déclara : 

-Ouaaah ! Et ben ! Heureusement que j’ai découvert cette porte ! Hein ?!

-Ouais ouais répliqua Alexandre.

Charles se calla contre un mur, et là, une porte cacher sur le mur s’ouvrit.

Les amis étonnés s’engouffrèrent dans la porte poussée par la curiosité et par l’adrénaline !

Ils arrivèrent dans une grande pièce remplit de nains !
Charles déclara les larmes aux yeux :

-Mes nains, mes nains !

-  Bon, bah on sais ou sont les nains, maintenant y’a plus qu’à savoir qui les à voler.

 
Chapitre 4 : Un piège.
 
Alexandre déclara :

-Bon, on va attendre se soir dans la forêt pour voir si le mec qui à voler les nains se montrent.

-Euh, moi je peux pas rester reprit Jeoffrey… Euh… J’doit prendre une douche… Aller à demain.

Trente minutes plus tard, Alexandre et Charles étaient caché dans les buissons devant l’entrer. Ils attendirent jusqu'à deux heures du matin, et résigner, ils allèrent se coucher.

Le lendemain, à midi, Alexandre appela Jeoffrey pour savoir si il voulait venir le soir pour le piège, il refusa en déclarent après longue hésitations qu’il devait aller au coiffeur… Alexandre ne cherche pas plus loin et raccrocha.

Le soir, Charmes et Alexandre allèrent se cacher de nouveau dans le même buisson. A onze heures trente six, un bruit retentit. Alexandre arrêta de respirer, Charles l’imita et après plusieurs minutes, Alexandre déclara :

-Putin de sangliers 

Charles était tout bleu par le manque d’oxygène..
Alexandre reprit :

- C’est bon respire…

Puis il respira haletant. Après plusieurs dizaines de secondes de récupérations, il déclara :

-Bon bah c’est mort pour se…

Il ne put terminer sa phrase, que des lumières apparurent dans le ciel. Les deux amis contemplèrent la scène. L’objet lumineux passa dans le ciel et repartit aussi vite qu’il était venus !

Charles déclara la voix toute tremblante :

-Putin, c’était qu.. Quoi sa.. a ?!

-Bonne question reprit sont camarade.

Il y eu un silence terrible, de plus de cinq minutes, puis Charles reprit :

- Je tremble encore !

-  Hum… Je pense que c’était un Ovni !

-Rien que sa ?!

-Je propose qu’on reviennent demain à la même heure, avec Jeoffrey comme sa, ont sera fixer sur cet drôle d’objet répliqua Alexandre.

-Euh, t’es sûr ? … On pourrait aussi… Euh, je sais pas.. Faire des crêpes tranquillement ?

-  Non répondit calmement Alexandre.

 
Chapitre 5 : Des extraterrestres ?

Le lendemain, à deux heures du matin, les trois amis étaient dans les buissons. Jeoffrey déclara :

 

Il ne « put » terminer sa phrase, que le même objet et la même lumière apparut dans le ciel.

Jeoffrey, se leva et courut en beuglant dans la forêt.

Alexandre le regarda d’un de ses regard de psychopathe, Charles lui d’un regard qu’on les nains quant ils sont étonné.

L’ovni ne bougeait pas, il était en suspension dans les airs, puis après quelques minutes, il alla plus loin, au dessus d’un champ et se posa !

Alexandre déclara :

 

Ils s’approchèrent du champ et là, ils virent une sorte de vaisseaux d’un gris mat, d’une longueur approximative de dix mètres, sur trois mètres. Les traits étaient courber, se qui donnait la forme d’une assiette à soupe.

Charles déclara :

 

Il ne put terminer sa phrase qu’une claque arriva sur sa joue !

Alexandre s’expliqua :

 

 

 

Celui-ci s’égosilla la voix en beuglant, et faillit s’étouffer ! Après avoir retrouver sa respiration, il déclara :

 

 

Il chuchota quelque chose à Charles, et celui-ci approuva.

 

Chapitre 6 : Encore un enlèvement ?

 

Le lendemain, les deux amis allèrent cherche Jeoffrey. Ils sonnèrent, ils attendirent, ils resonnèrent, et il attendirent encore.

Alexandre essaya d’ouvrir la porte, et celle-ci s’ouvrit. Ils entrèrent, Charles cria :

 

Personne ne répondit… Alexandre alla dans le salon, celui-ci était vide. Ils allèrent dans le chambre, elle était vide. Ils allaient repartir, lorsqu’un bruit retentit.

Alexandre se retourna, et attendit, puis il se dirigea ver le placard, il l’ouvrit d’un geste brusque et là ! Jeoffrey ! Il était caché, là !

Alexandre déclara :

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Il prit Jeoffrey par le col, et le foutit sous la douche en cabine, et il la bloqua à l’aide d’une chaise, puis il bidouilla les tuyaux, et l’eau geler s’abattit sur Jeoffrey. Puis ils sortirent.

Une heure plus tard, ils étaient dans la cachette secrète.

Alexandre prit sont sac et commença à mettre les nains, Charles l’imita.

Une demis heure plus tard, tous les nains étaient dans les sacs.

Ils ressortirent et rentrèrent au village. Deux heures plus tard, ils allèrent à la gendarmerie en déclarant fièrement :

 

Le gendarme se gratta la tête en déclarant :

 

 

Ils leurs racontèrent tout et trois quart d’heure plus tard, la réactions des gendarmes était une belle rigolade générale !

Evidament, déjà qu’en on parle de sujet un peu insolite ou bien « paranormal » avec des gens de la ville sérieux et adultes, on passe soir pour un demeurer, soit pour un menteur, ou alors pour un droguer alcolo parano !

 

Donc les deux amis sortirent de la gendarmerie en tirant une grimace, Puis Ils allèrent chez Jeoffrey, ils coupèrent l’eau en enlevant la chaise.


The End


BBC


Mis au propre le 03/01/07
Ecrit pendant l'automne.

Musique écouter pendant la réécriture : 
Matmatah - La Ouache
SOAD - Toxicity
La rue Ketanou


Source : Image : Google

 

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23 mai 2008 5 23 /05 /mai /2008 18:20

 

Rémi : 

 

Roue tournant dans le vide,
Et tombant dans un liquide,
Mammouth cuit au feu de Tan,
Il est cuit le grizzly et l’âne aussi. 




Ne chercher pas à comprendre, ça serait trop dur lol !


Ps (Très bon délire)

Charlie :


Chat tiré par les poils,
Hibous cuit dans une poêle,
Ambroisie au goût de citron,
Renard aux cheveux blonds,
Lutin transgénique en bonbon,
Igouane au cerveau retourné,
Ermite utopiste né.


Le Corbusier :

Lycée en jeux de cartes,
Elément principal pâte à tarte,

Couleur unique, le gris,
Oh ! Il est jolie le gris souris,
Rare espace d'herbe sont coupée,
Béton tellement apprécié qu'il est rajouté,
Urenge ! Ascenseur bloqué;
Salles de classe qui font bader,
Inerte est l'internat en début de soirée,
Elèves solidaire, le sont restés,
Résister et rigoler, actions ancrées dans nos pensées.


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1 novembre 2007 4 01 /11 /novembre /2007 21:17
La routine tue les couples, alors tuer la routine et voyez différemment...

___________

Sources :
Texte : Moi

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